2015
Ghislaine HABY : Exposition « étrange été »
du 12 septembre au 8 novembre 2015
ENFANCE : Blondin – Lunat – Maubert
du 13 juin au 6 septembre 2015
Vernissage le 13 juin 2015 à partir de 18h30Héléne BLONDIN
Peintre autodidacte elle vit et travaille dans le Gers.
Après avoir vécu pendant 15 ans au Canada où elle exerçait le métier d’architecte paysagiste qu’elle abandonna définitivement pour la peinture pour répondre à une nécessité impérieuse de dessiner et peindre, elle s’interroge sur l’homme, plus précisément le dedans de l’homme.
« Ce que j’aime c’est être à l’atelier. Pièce encombrée, je peins sur une table, à plat, toile ou papier et plusieurs à la fois. Le support est toujours travaillé les quatre cotés à la fois. La toile ne cesse de tourner sur elle–même. Je vais assez vite, mon corps au plus près de mon œil. Le cœur doit passer à la main avant de peindre. »
LUNAT
Née en 1973, LUNAT vit et travaille à Toulouse.
Autodidacte dans ses débuts, elle obtient par la suite un master d’Arts Plastiques.
Issue de la lignée des néo expressionnistes elle a développé un style personnel inclassable dans les tiroirs de l’art, une sorte de Storyteller singulière.
Evelyne MAUBERT
Vit et travaille à Toulouse.
Des études d’arts appliqués à Paris l’ont amenée dans le domaine de la mode puis de l’illustration qui ouvrira le champ d’expérience pictural et plastique, ainsi un double langage figuratif, sculptural s’installe.
Les personnages, avec leurs états d’âme racontent des histoires, nos histoires. D’abord volumes, ces personnages rejoignent progressivement la toile, un autre médium venant refléter cet univers rempli de poésie.
Marie Pierre TEYSSEYRE & Marie VERDIER
du 28 mars au 12 mai 2015
Vernissage le 28 mars 2015 à partir de 19hMarie Pierre TEYSSEYRE
Vit à Nîmes, dans le Gard.
Travaille en tant qu’architecte paysagiste sur des réalisations d’espace public et de jardins.
Peint en autodidacte depuis son enfance, initiée par sa tante Monique Teysseyre peintre paysagiste.
Marie VERDIER
Les paysages, détachés depuis quelques années de leurs obligations professionnelles, s’offrent en toute liberté et restent mon domaine de prédilection. Furtif ou contemplatif, le regard se pose, se nourrit.
Voir loin, voir grand, infime, lumineux, coloré ou sombre, c’est cette diversité que le paysage offre et pas seulement le « beau paysage »…
Il est des lieux délaissés où soudainement cohabitent des couleurs et des volumes qui s’assemblent pour prendre leur sens, des campagnes dans lesquelles la route bordée d’un fossé sombre est plus remarquable à mes yeux que tous les couchers de soleil du monde.
Et aussi, les couchers de soleil du monde qui peuvent devenir le cœur d’une inoubliable émotion…