du 19 mars au 1er mai 2016
Marie-Hélène Carcanague
« La forme du corps n’est qu’un prétexte à l’utilisation de la peinture, par couches successives, grattées, griffées, tachées, puis recouvertes à nouveau. Comme un vieux mur décrépit et maintes fois repeint, marqué du temps qui a coulé…
Enfin dépasser la ligne, déborder du contour, abandonner sa main. Marcher dans les flaques, laisser des empreintes, créer des fissures, des imperfections.
Accepter de se perdre, chercher « son endroit », tel un chat….
Félix Valdelievre
Déséquilibres stables
J’utilise de la tôle de deux millimètres d’épaisseur. Les cercles que je mets en forme pour créer mes sculptures ont pour moi la symbolique du cycle, l’éternel recommencement, la plénitude et donc la Vie. Cette dernière évoquant le mouvement »…
J’aime l’idée des contradictions : donner de la légèreté à une matière supposée pesante, donner du mouvement à la rigidité, exploiter les propriétés techniques du fer pour engendrer des « déséquilibres stables », travailler les patines pour créer une confusion sur la matière dont sont faites mes œuvres